On a pu recenser que la grande partie des accidents routiers survient suite à une défaillance de certains organes des véhicules. C’est pour cette raison que le service de contrôle technique est devenu très strict durant les examens des véhicules. Les contrôleurs ont même mis en place la contre-visite pour bien s’assurer de la conformité des voitures utilitaires.
La contre-visite : qu’est-ce que c’est ?
Tous les véhicules n’excédant pas 3.5 tonnes doivent passer un contrôle technique tous les deux ans. Durant cette démarche, le contrôleur examine 133 points. Il se peut que votre véhicule ne possède aucune défaillance ou qu’il n’existe que des défaillances mineures. Dans ces cas-là, vous n’aurez pas à effectuer une contre-visite.
Dans le cas où le contrôleur constate des défaillances majeures ou critiques, il les mentionnera dans le procès-verbal et vous aurez un délai de deux mois pour procéder à toutes les réparations. Vous devez ensuite revenir pour effectuer la contre-visite. La date limite des réparations sera inscrite sur la vignette collée sur votre pare-brise après le premier contrôle.
Comment éviter la contre-visite ?
La contre-visite est une démarche légale, mais elle vous sera facturée jusqu’à ce que votre véhicule respecte les règles. Ainsi, comme vous pouvez voir sur le site de controle technique montaigu, il convient de préparer votre véhicule avant le premier contrôle pour éviter la contre-visite.
Dans un premier temps, vous devez contrôler vos pneus, car le pneumatique constitue le premier motif de la contre-visite. Vous pouvez constater d’un simple geste si vos pneus s’usent. Il faut donc les remplacer avant la visite. Le deuxième motif concerne les feux. Ainsi, prenez le temps de les tester tous les uns après les autres. Le troisième motif réside sur les freins. Prenez la peine de les examiner sur quelques kilomètres avant de vous lancer dans le contrôle technique.